Pour les raisons sanitaires que vous connaissez bien, l’année passée nous a privé en grande partie de la pratique de notre Art .
Mais nombre d’entre vous ont maintenu le lien, à travers les réseaux sociaux entre autres, par des initiatives originales et fédératrices.
Vous avez montré la force de l’Aïkibudo avec ses valeurs de partage et de solidarité pour passer outre les contraintes imposées. Soyez-en remerciés !
Les entraînements, au grand air de l’été ont permis à certains d’entre vous de se retrouver sur les tatamis ou les terrains herbeux ou boisés, avec des moments de joie, de plaisirs et d’émotions.
Formulons des vœux pour que notre Art et ses entités historiques continuent à apporter les bienfaits à ceux qui poursuivent la route tracée par les Anciens.
Une des originalités de l’Aïkibudo est d’avoir intégré dans un même art tous les pratiquants sans catégorie de poids, d’âge, ou encore de sexe. La mixité dans notre pratique est un atout inestimable.
Dans le présent numéro, une place importante a été donnée à des plumes féminines qui nous offrent un éclairage complémentaire et d’une grande richesse.
Merci à toutes celles qui ont contribué à ouvrir cette voie que je souhaite voir perdurer au fil des prochains numéros.
Je vous souhaite une belle saison, loin de ce fichu virus, belle saison avec nos rendez-vous traditionnels que sont les stages organisés par nos fédérations de l’Aïkibudo et du Katori Shinto-ryu.